Bon, mais moi aussi j'ai un poème lol ^^ Et j'aimerais avoir des commentaires S.V.P.!!!
Bon, et bien, le voici:
L’amour est toujours là
Je t'ai enfin trouvé
Toi que j'ai tant cherché
Durant ma vie entière
Depuis ma création par ma mère
Jusqu'à mon adolescence
Où je sombrai dans la délinquance
Lorsque je réussis à m'en sortir
Je réfléchis et décidai de partir
Loin de mon lieu de naissance
Où tous les gens me regardaient avec méfiance
Je pris mon baluchon
Et je couchai sous les ponts
Jusqu'au jour où alors
Emmitouflé dans de l'or
Il m'aperçut et eut de la passion
Tandis que chez moi, cela suscitait de la confusion
Il me prit sous son aile
Et je décidai de profiter de ce stupide être
Maintes fois nous fîmes des ébats
Sans que cela suscite en moi
Ni passion, ni amour
Seulement de la détermination en retour
Il eut stupidement confiance en moi
Et je profitai de cette faible proie
Il m'emmena partout dans le monde
Avec seulement mes désirs en ligne de compte
Nous voyageâmes dans le désert aride
Au forêt vierge aux pluies torrides
Mais il ne savait pas pourquoi en voyageait
Tandis que moi, je guettais
Je cherchais mon amour, ma flamme
Que je guettais sans relâche
Mais un jour, mon mari
Sorti de son corps de pie
Et ce faisant il découvrit
Ce que je faisais devant lui
Il me frappa, me rua de coups
Tout en pleurant son soûl
Il me laissa dans ce fabuleux pays
Où je me suis sentie soudain toute petite
Dans la magnifique Espagne
Où je ne pouvais m’offrir une goutte de champagne
Je m'engageai dès cet instant à l'hôpital
Où je combattai le mal
Qui rongeait ces pauvres gens
Malades et sans argent
Qui furent sur les frontières de la mort
C'est à eux que j'offrai du réconfort
Ses gens arrivaient et mourraient
Pendant que les années défilaient
Devant mes yeux en pleurs
De n'avoir pu trouver le bonheur
Pourtant, je continuais à réconforter ces malades
Avant que s'envole leur âme
Jusqu'à quarante ans, je restai
À l'hôpital pour soigner
Ces mourants, ces infirmes
À qui il ne restait que quelques minutes à vivre
Lorsque soudain j'aperçus
Celui que j'ai tant attendu
Étendu sur une couverte de lin blanc
Il était mourant
Alors je me précipitai
Près de lui et je l'embrassai
D'un baiser long et langoureux
Que je trouvai tout simplement merveilleux
Alors, dans mes bras
Il passa de vie à trépas
Sur mes joues coulèrent des larmes de joie
Et je lui donnai un baiser une dernière fois
Avant que je m'effondre sur mon amant
Ainsi sont rassemblé
Deux amours qui ce sont éperdument cherché
Et ce, pour l'éternité...