la premiere arriver de Ryu

-Et moi non plus je ne sais pas comment j'ai fait pour vivre sans toi... mais ça m'as pris cent-milles ans pour finir par sortir de se lac... Et je suis heureux de l'avoir fait... Si je serais toujours dans cette grotte au fond du lac, je ne t'aurais pas retrouver...

*Les yeux de Maf était eux aussi plein de larmes de joies*

-maf je t'aime tant!

les mots ne vinrent pas a la bouche de Ryu elle avais rèver de se moment 10 000 ans de temps lors de sa regénération...

-Et moi je t'adore Ryu!

*Maf ne parlais pas beaucoup plus, tout ce qu'il voulait, c'était être avec Ryu et pouvoir l'aimé a jamais*

*Maf lui avait tout de suite compris, il avait lui-même créer ces alliances après tout, puis il sourit à Ryu*

-je l'ai toujours garder comme mon plus précieux joyaux...

-Et moi je l'ai garder comme un souvenir de toi Ryu! Jamais je n'aurais voulu t'oublier... tu es trop magnifique!

-moi je n'aurais jamais pu t'oublier!

ryu lui redonna un baiser encore plus passionné que le premier

*Maf accepta ce baiser sans tenter de l'empêcher puisque de toute façon, il adorait les baisers de sa bien-aimée avec qui il s'était marier bien longtemps avant*

-c'est si bon d te retrouver enfin apres toute ses année!

Pierre toussota.
"Et bien je suis content de vous revoir tout les deux....même si je fait une impression plutot invisible..."

( tu peut pas les laisser se retrouver en paix loll)

ryu entendu cet fois si la voix...elle la reconnu et elle se crispa...elle retourna la tete et vit Pierre...sont regard devint noir car il savait que cétait lui qui menait les armée de lumiere...et qui l'avait presque tuer...

-...

*Maf se souvenait comment Pierre avait été un grand combattant, et aussi comment il avait failli tué Ryu et Maf se souvenait aussi comment il lui avait enfoncé son épée dans le dos... comment ce faisait-il qu'il soit toujours en vie?*

voyant que maf ne savait pas quoi dire elle prit parole...

-que fait tu ici...

elle dit sa sur son ton froid et sans pitié d'ancienne déesse des ténèbres

"J'attendait que tu me le dise...je m'attendais a une meilleure impression...même si ca fait 10 ans que je ne vous aie vu..."
(Pierre as 16 ans a ne pas oublier...)
"D'ailleur je pourrais vous reposer la question...j'ai quelques indices qui prouve que ce n'est pas vous qui est assassiné mes parents."

gabrielle arriva

(me demandez pas pk ni comment okay? j'en ai moi meme aucune idée...XD)

elle avait vu et entendu une parti de la scène..elle arriva derriere pierre...elle voyait pour la premiere fois un maf épanouie et heureux, et voila le jeune qui venait les troublés...elle lui agripa le bras par derriere

Hé le jeune...vien avec moi et laise les trankile...

Pierre se dégagea le bras.
'Dabord vous vous moquez de ce que je dit et maintenant ous m'empêcher de voir des personnes que je n,a ipas vu depuis longtemps...non mais c'ets pas bientôt finit!"

"Ouais vous dites ca seulement parce que je suis plus jeune que vous et que vous croyez que ce que je VOUS aie dit est mensonger!"
Il regarda un instant Maf et Ryu.
"Je crois que ce n'est pas le bon moment pour en parler......je vous pie de m'excuser vous tous...mais je vais partir un peu...si je n'ai plus le droit de voir des personnes que je n,ai pas vu depuis des annés,alors je ne suis plus la bienvenue dans CE pays..."

Il tourna les talons et repartit plus loin.mais soudain,sa cicatrice lui signala un danger.Lui il ne l'avait pas remarqué mais Gabrielle,Maf et Ryu pouvait.

ryu chercha l'esprit de Gabriell et lui envoya un message téléphatique

*merci!*

elle reporta sont regard sur maf

-on ne sera jamais débarasser de lui hein?

elle ria de bon coeur...sa fesait si longtemps quel ne l'avait pas fait

-Moi tant que je ne suis pas débarasser de toi ca me vas ^^

*Maf avait déja plus souris en quelques minutes que dans les derniers cent-milles ans simplement a pensé a Ryu*

(merde jvais vous donner un os tout les deux... )

(mouhahahaha )

Ryu se blottit des les bras de maf sa fesait si longtemps

*Maf enlaça Ryu dans ses bras sans hésité, la chaleur corporelle qu'elle dégagait étais si douce, si parfaite*